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Diaporama : 10 invendues de la vente Artcurial à Rétromobile

Chaque nouvelle vente aux enchères de la Maison Artcurial présente son lot de records et de performances parfois folles. Une rareté vendue à prix d'or, un modèle qui a créé la surprise, une curiosité qui fait les gros titres... Mais plutôt que de vous parler des Winners¸ nous voulons revenir au contraire sur les voitures qui ont été boudées lors de la vente au Salon Rétromobile, les grandes oubliées, les invendues qui n'ont pas réussi à séduire leur public.

  • © Media365, Artcurial 1/10

    Aston Martin V8 Vantage V600 Le Mans (1999)

    C'était pourtant une sportive anglaise d'exception : cette Aston Martin V8 Vantage n'a été produite qu'à 40 exemplaires, pour commémorer les 50 ans de la victoire de la marque aux 24 heures du Mans 1959. Un modèle comptabilisant moins de 30 000 kilomètres, qui était estimé entre 350 000€ et 450 000€.

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  • © Media365, Artcurial 2/10

    Citroën Xantia V6 Activa (1999)

    De la 2CV à la DS, de la CX à la Xantia, Citroën s'est toujours démarquée par ses systèmes d'amortissement révolutionnaires. Cette Xantia Activa embarquait ainsi une suspension pilotée Hydractive et un système de régulation active du roulis. Combinés à son moteur V6, c'était une berline rare et innovante, qui n'a pas séduit malgré son prix estimé sous les 35 000€.

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  • © Media365, Artcurial 3/10

    Ferrari F12 TDF (2016)

    Bien plus récente, cette Ferrari F12 (référence à son moteur V12) en édition limitée Tour de France (799 exemplaires) n'a pas fait chavirer les cœurs, malgré des performances indéniables (780 chevaux pour une vitesse de pointe de 340 km/h) et un style spécifique par rapport à la F12 de série. Un affront, pour un modèle estimé entre 1 200 000€ et 1 600 000€.

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  • © Media365, Artcurial 4/10

    Ferrari 365 GTB/4 Daytona (1971)

    C'est une autre Ferrari, mais un modèle ancien et mythique, qui devait partir entre 620 000€ et 750 000€. La 365 GTB/4 (en référence à sa cylindrée unitaire), plus communément appelée « Daytona » embarquait un moteur V12 4.4L de 352 chevaux. Avec son poids contenu sous les 1500 kilos, cette beauté dessinée par Pininfarina pouvait atteindre les 270 km/h !

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  • © Media365, Artcurial 5/10

    Maserati Ghibli (1970)

    Modèle phare de Maserati, la Ghibli est une des supercars italiennes les plus mythiques de son époque. Un chef-d'œuvre de beauté et de performance, alliant le coup de crayon de Giorgietto Giugiaro à une mécanique d'exception développée par Maserati : un V8 développant 250 chevaux ! Personne n'en a voulu, la belle ayant été estimée entre 180 000€ et 240 000€.

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  • © Media365, Artcurial 6/10

    Maserati Mistral (1967)

    C'est une autre Maserati tout aussi raffinée, qui porte d'ailleurs également le nom d'un vent violent : la Mistral. Avec sa livrée beige Mirabello, son intérieur tout en cuir noir Connoly et ses élégantes jantes striées, cet exemplaire embarque un 6 cylindres 4L de 260 chevaux. Une perle italienne, estimée entre 120 000€ et 150 000€, restée pourtant sur le parking des invendues.

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  • © Media365, Artcurial 7/10

    Mercedes-Benz 190 SL (1955)

    Vous connaissez sûrement la 300SL et ses portes papillon, cette Mercedes-Benz 190 SL en était la variante d' « entrée de gamme », à portes traditionnelles. Un élégant cabriolet, ici drapé de blanc à l'extérieur, et de rouge dans l'habitacle. Cet exemplaire fut offert neuf en 1955 à la princesse de Bulgarie ! Une « Sport Leicht » gratinée, qui devait partir entre 100 000€ et 160 000€.

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  • © Media365, Artcurial 8/10

    Mercedes-Benz SLR Stirling Moss Edition (2009)

    Développée entre Mercedes-Benz et Mclaren, la SLR était une supercar d'exception. Cette version Stirling Moss est d'autant plus rare qu'elle ne fut produite qu'à 75 exemplaires, pour rendre hommage au pilote britannique. C'est un roadster deux places à portes papillons, mû par un moteur V8 suralimenté de 660 chevaux ! Elle était estimée entre 3 000 000 et 4 000 000€.

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  • © Media365, Artcurial 9/10

    Porsche 928 Clubsport (1988)

    Elle inaugurait avec la 924 la saga des Porsche à moteur avant : la 928, et son rugissant moteur V8 bien sûr ! Celle-ci est l'une des 27 « Clubsport » produites, un doux nom pour caractériser les 928 les plus légères et les plus amusantes de l'époque, qui bénéficient d'un moteur et de réglages de châssis spécifiques. On l'estimait entre 320 000€ et 400 000€.

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  • © Media365, Artcurial 10/10

    Renault 5 GT Turbo Groupe N (1990)

    Dans un tout autre contexte, cette Renault 5 GT Turbo avait fait l'objet de modifications spéciales pour concourir en Championnat du monde des rallyes ! C'était en 1989, Alain Oreille arrachait la victoire au rallye de Côte d'Ivoire à son bord ! Elle est depuis restée dans son jus, avec son sable et ses odeurs, malgré ses 23 ans ! Un modèle original, qui était estimé entre 60 000€ et 80 000€.

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